Sortir du burn-out, de la surcharge mentale ou du mal-être émotionnel : pourquoi je peux vous accompagner
J’ai connu l’épuisement. L’effondrement intérieur. La sensation d’avoir tout donné, tout tenté — et de ne plus pouvoir avancer. Ce que vous traversez, je l’ai vécu. De l’intérieur. Et je sais qu’il existe un autre chemin.
Burn-out : quand on s’épuise à force de s’éloigner de soi
Pendant longtemps, je me suis dit : “Je finis ça, et je me reposerai après.” Mais il y avait toujours une urgence de plus. Une responsabilité. Une pression. Jusqu’au jour où le fil a craqué.
Ce n’était pas un simple coup de fatigue. C’était un épuisement complet — physique, mental, émotionnel. Je n’étais plus capable de rien d’autre que de recevoir. Regarder des vidéos silencieuses. Me taire. Respirer.
Ce que j’ai compris, c’est que le burn-out n’est pas une faiblesse. C’est une alerte. Une rupture causée par une déconnexion profonde de soi. Et que pour s’en relever, il ne suffit pas de se reposer : il faut se retrouver.
Reconstruction intérieure : retrouver un ancrage vivant
J’ai cheminé. D’abord par le repos. Puis par des pratiques fines, sensibles, qui permettent une reconnexion douce :
- La Communication NonViolente (CNV) – pour poser des mots sur ce que je vivais
- La maïeusthésie – pour accueillir en moi ce qui avait été mis de côté
- Le focusing – quand les mots ne suffisaient plus, pour écouter depuis le corps
- Le coaching ICF – pour faire émerger ce qui pouvait me redonner de l’élan
Ces approches ne m’ont pas “guéri”. Elles m’ont permis de me rencontrer. Et c’est cela que je transmets aujourd’hui : un accompagnement incarné, ajusté, au service de votre rythme.
Je vous accompagne dans les états que je connais
J’accompagne les personnes qui se sentent :
- en épuisement émotionnel, ou en sortie de burn-out
- envahies par un mental trop actif, qui n’arrête jamais
- hypersensibles, en surcharge sensorielle ou relationnelle
- en quête de sens, coupées de leur élan de vie
- fortement responsables, lucides, mais incapables de lâcher
Ce n’est pas toujours clair, ni facile à dire. Et c’est précisément là que commence l’accompagnement.
Ma posture : écoute, présence, non-jugement
Je ne suis pas thérapeute au sens médical. Je suis accompagnant. Je ne prescris rien. Je ne “corrige” rien. Je ne fais que créer un espace sûr, précis, où ce qui vous traverse peut être entendu.
- Pas d’analyse : juste une reconnaissance de ce qui est là
- Pas de jugement : tout est pertinent à entendre, même les refus
- Pas de pression : vous gardez la main à chaque instant
Je chemine avec vous. À côté, pas au-dessus. C’est votre vécu qui guide — moi, je l’accueille avec exigence et douceur.
Vous n’avez pas à aller mieux. Vous avez peut-être juste besoin d’être entendu·e, là où vous en êtes.
En pratique, ce que je propose
Si cette approche vous parle, vous pouvez découvrir ici comment se déroule une séance :